1 Belge sur 20 sera un jour touché par un cancer du côlon.
Autrement dit, vous avez 19 chances sur 20 de l’éviter, mais il faut savoir ce qu’il faut faire.
90% des patients ont plus de 50 ans. Cette tranche d’âge est donc en première ligne.
Malheureusement, 10% des patients ont moins de 50 ans.
Le ruban bleu (foncé) symbolise la lutte contre le cancer du côlon…
Tout comme le ruban rose pour la lutte contre le cancer du sein.
Le mois de mars est à l’échelle mondiale le mois international pour la lutte contre le cancer du côlon.
Près de 8.400 nouveaux cas sont recensés en Belgique chaque année.
En Flandre, la maladie tue pas moins de 3.300 personnes par an, soit 5 par jour !
Contrairement à ce que l’on pense, seuls 20% des cas ont un caractère familial ou héréditaire.
La majorité des cas sont en effet ce que l’on appelle des cas ‘sporadiques’.
3 facteurs augmentent le risque de cancer du côlon :
2 facteurs réduisent le risque de cancer du côlon :
Heureusement, il faut plusieurs années avant qu’un petit polype bénin n’évolue en tumeur maligne ou en cancer.
On estime qu’il faut en moyenne 8 à 10 ans !
Cette simple analyse des selles permet de détecter des traces de sang invisibles à l’œil nu (occulte).
Dans 5% des tests sur des personnes âgées de 50 à 74 ans, le résultat est « positif ». Mais cela ne signifie pas pour autant que le sang détecté est dû à un cancer du côlon.
Afin de détecter la cause, il est nécessaire d’effectuer un examen de l’intestin (coloscopie).
Vous pouvez demander à passer ce test via votre médecin généraliste.
Sur 1.000 polypes, seuls 100 (10%) mesurent plus d’un centimètre.
Sur 1000 polypes il n’y a que 100 (10%) Plus d’un centimètre
Sur ces 100 polypes, à peine 25 évolueront en cancer du côlon.
Le nombre de cancers du côlon est pratiquement aussi élevé que pour les cancers du sein.
Et bien plus élevé que le nombre de cas de sida et de victimes d’accidents de la route.
Malheureusement, les médias n’y accordent pas la même attention…